Pour cet épisode, nous recevons Charles Bosson, critique-créateur de la série d'essais-vidéo sur le cinéma "7 minutes de réflexion", mais également musicien et cinéaste.
Dans cet entretien, ce cinéphile insatiable et éclectique - passant autant de temps en salle que derrière des écrans plus petits - évoque notamment le fonctionnement de sa mémoire cinéphile, sa capacité à faire des liens entre les films, entre associations instinctives et études rigoureuses.
Vidéaste patient et spectateur curieux, il nous raconte, entre autres, pourquoi les films de Lubitsch sont rassurants avant d'aller dormir, et ne manque pas de décrire de façon sensible une séquence de "Boy meets girl" (L. Carax).

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1 - PORTRAIT : 3:33
Un regard de cinéma : Scarlett Johansson dans Under the skin (J. Glazer, 2013), 3:33
Un miroir : celui d'Alain Delon dans Le Samouraï (JP Melville, 1967), 6:33
Un combat : les luttes syndicales dans Matewan (J Sayles, 1987), 9:03

2 - CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE : 13:10
Un film regretté en salle : Jessica Forever (C. Poggi, J. Vinel, 2019), 13:10
L'intérêt des oeuvres au long cours : la cohabitation sur le long terme avec les personnages (dans divers films et séries) : 21:45

3 - MEMOIRE ET SOMMEIL : 25:25
Un film avant de dormir : la filmographie de Ernst Lubitsch, 25:25
Le fonctionnement de la mémoire cinéphile : Associations instinctives et comparaisons, 29:26

CARTE BLANCHE :
Boy meets girl (L. Carax, 1984) et La maman et la putain (J. Eustache, 1973)

4 - CINEMA ET TRANSMISSION
Un film détesté mais recommandé : peut-être La forêt d'Emeraude (J. Boorman, 1985), 38:26
Un film impossible à partager ? Non ! 45:25

Film REFUGE :
"Le nouveau film ou la nouvelle série dont j'ai entendu parler ce matin", 48:25