Cinéphiles de notre temps

Cinéphiles de notre temps

La cinéphilie c'est fini ? Portraits de cinéphiles en tous genres à l'ère numérique.

Phane Montet et Clément Coucoureux

La cinéphilie c’est fini ? Phane Montet et Clément Coucoureux proposent des portraits de cinéastes, critiques, techniciens, programmateurs, exploitants…par le biais des films qu’ils aiment (ou non). Ensemble, ils discutent aussi de ce qui les obsède au cinéma, de la meilleure façon de transmettre des films, ou de la diversité des conditions de visionnage à l’ère numérique. Pour s’interroger sur ce terme imposant qu’est la “cinéphilie”, mais surtout, pour donner envie de voir des films !


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Pastille 6 - Des pastis avec Loris

Plus courtes, les pastilles proposent des portraits, ou plutôt des esquisses de cinéphiles de notre temps dans des cadres moins formels.
Ici, Loris - entre autres activités rédacteur pour Revus & Corrigés et habitué de la programmation et des cinéclubs - fait son portrait chinois (un film d’été, un animal tueur, une étreinte), parle de sommeil, de sa place préférée dans une salle, et nous livre enfin son film-refuge.
Enregistré aux 400 Coups autour d’un pastis.

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Cinéphiles de notre temps 8 - Cinquante nuances de gris avec Rodolphe Cobetto-Caravanes

Pour cet épisode, nous recevons Rodolphe Cobetto-Caravanes, projectionniste-programmateur, animateur d’ateliers de cinémas, guide (pour l’exposition vampires à la Cinémathèque notamment), mais également cinéaste (de clips, de films expérimentaux) et créateur de fanzines. Mais arrêtons l’énumération ici !
Dans cet entretien, ce cinéphile à la moustache aussi fournie que celle de Burt Reynolds nous parle de ses (plus ou moins agréables) émois cinématographiques : à travers la sulfureuse Monika de Bergman, la belle Ingrid Bergman dans Casablanca qui implore à Sam sa fameuse chanson, ou encore à travers une autre Monica - Belluci de son nom de famille - dans une scène d’ « Irréversible » ancrée dans les rétines, et que pour une fois, on ne vous conseille pas.
Projectionniste-programmateur, il évoque également les balbutiements du numérique, d’étranges bobines de films (pour l’Ange Bleu) ou l’effervescence des séances du Rocky Horreur Picture Show au studio Galande, dont il fut programmateur.
Enfin - et surtout, Rodolphe rappelle que ne rien comprendre au cinéma, ce n’est pas grave - c’est une nécessité. Et il n’hésite pas à s’appuyer sur les grands - Bunuel ou David Lynch - pour appuyer son propos.

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I. PORTRAIT - 5:31
Une moustache de cinéma : Celle de Burt Reynolds - 5:41
Un instrument de musique au cinéma : le piano dans Casablanca (Michael Curtiz, 1942) - 10:35
Des mains au cinéma : les mains d’Orlac- 14:56

II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17:05
La/les meilleures séances du Rocky Horror Picture Show au Studio Galande - 17:15
Un film vu dans de mauvaises conditions, et redécouvert plus tard : Shadows (J. Cassavetes, 1959) - 21:19
Un film tourné en numérique mais que tu aurais préféré voir en 35mm : Gran Torino (Clint Eastwood, 2008) - 27:36

III. Mémoire et sommeil - 33:13
La scène érotique de l’enfance : Monika (I. Bergman, 1953) - 33:13
Le film qui te tient éveillé même dans un état de fatigue extrême : Un Chien Andalou (L. Bunuel, 1929) - 37:18

CARTE BLANCHE :
Mulholland Drive (D. Lynch, 2001) - 41:42

IV. CINEMA & TRANSMISSION - 48:45
Quels films tu aurais aimé ne pas « projeter » ? Baise-moi (V. Despentes, C. Trinh Thi, 2000)
Une séance lors de laquelle tu avais le sentiment de projeter un trésor (film rare ect…) : L’ange bleu (J von Sternberg, 1930) - 51:31
Le film érotique que tu aimerais montrer à ton enfant : Bilitis (David Hamilton, 1977) - 54:38

FILM REFUGE :
Kiki la petite sorcière (H. Miyazaki) - 59:41

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Pastille 5 - Luc Moullet par Victor Bournerias

Plus courtes et plus intenses, les pastilles de Cinéphiles de note temps proposent de brefs portraits de cinéphiles à travers la description d'une séquence d'un film qui les a marqué.
Dans cette pastille, Victor évoque le trop peu connu Luc Moullet et son film "Ma première brasse".
Passage extrait de l'épisode 7 de Cinéphiles de notre temps.

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Cinéphiles de notre temps 7 - Premières vagues avec Victor Bournerias

Pour cet épisode, nous recevons Victor Bournerias, programmateur adjoint au cinéma Le Grand Action (Paris) et co-fondateur du festival consacré aux teens movies "Smells like teen spirit".
Dans cet entretien, ce cinéphile loquace et éclectique évoque le "mythe de l'adolescence" - aussi bien la sienne que celle fantasmée par le cinéma - mais aussi la douceur terrible des fantômes japonais chez Kiyoshi Kurosawa ou encore la relation presque mythique de Werner Herzog avec son acteur fétiche, Klaus Kinsky.
Concerné, il nous parle de l'importance du programmateur en tant que garant de vie (ou de mort) sur certains films : choisir la VOD ou la salle, Netflix ou le cinéma, telle est la question - et ce, à travers l'une de ses expériences de programmation les plus marquantes, celle de "Certaines femmes", film de Kelly Reichard, resté à l'affiche pendant 1 an !
Enfin - et surtout, Victor prend le temps d'évoquer son amour pour le nécessaire et pourtant trop peu connu Luc Moullet, cinéaste burlesque et protéiforme de génie, et son autofiction cinématographique "Ma première brasse".

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1 - PORTRAIT : 8:09
Un lycée de cinéma : celui de Twin Peaks (D. Lynch, 1990)- 8:13
Une paire de lunettes : celle de They Live (J. Carpenter, 1988)- 11:39
Une chanson de cinéma : Revivre de Gérard Manset, dans Holy Motors (Leos Carax, 2012)- 13:44

2 - CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE : 16:53
L'importance des lieux où voir les films - 16:53
Un film difficile à programmer en pellicule : New Rose Hotel (A. Ferrara,1998) et Saint-Cyr (P. Mazuy, 2000)- 19:08
Un film qu'il faudrait voir uniquement en pellicule : Liberté la nuit (P. Garrel, 1983) - 26:46

3 - MEMOIRE & SOMMEIL : 30:20
Souvenirs de la cinéphilie adolescente : Elephant (Gus Van Sant, 2003) et Mysterious Skin (G. Araki, 2004)
Un bon souvenir ensommeillé en festival : Paranoid Park (Gus Van Sant, 2007)

CARTE BLANCHE - 41:15
Kairo (K. Kurosawa, 2000)

4 - CINEMA & TRANSMISSION - 53:24
Un film qu'on ne veut pas voir tant on en a entendu parler : Gravity (A. Cuaron, 2013)- 53:24
Un film impossible à programmer seul : Ennemis intimes/Fitzcarraldo (Werner Herzog)- 56:05
La meilleure expérience de programmation : Certaines Femmes (K. Reichardt, 2016)- 01:01:00

FILM-REFUGE :
Ma première brasse (Luc Moullet, 1981) - 01:07:00

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Pastille 4 -Kaïro par Victor Bournerias

Plus courtes et plus intenses, les pastilles de Cinéphiles de note temps proposent de brefs portraits de cinéphiles à travers la description d'une séquence d'un film qui les a marqué.
Dans cette pastille, Victor raconte une séquence de Kaïro de Kiyoshi Kurosawa (2000).
Passage extrait de l'épisode 7 de Cinéphiles de notre temps.