Cinéphiles de notre temps

Cinéphiles de notre temps

La cinéphilie c'est fini ? Portraits de cinéphiles en tous genres à l'ère numérique.

Phane Montet et Clément Coucoureux

La cinéphilie c’est fini ? Phane Montet et Clément Coucoureux proposent des portraits de cinéastes, critiques, techniciens, programmateurs, exploitants…par le biais des films qu’ils aiment (ou non). Ensemble, ils discutent aussi de ce qui les obsède au cinéma, de la meilleure façon de transmettre des films, ou de la diversité des conditions de visionnage à l’ère numérique. Pour s’interroger sur ce terme imposant qu’est la “cinéphilie”, mais surtout, pour donner envie de voir des films !


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Cinéphiles de notre temps 6 - La dernière Piste avec Aline Ahond

Pour cet épisode, nous recevons Aline Ahond, cinéaste aux techniques multiples, ayant aussi bien utilisé la peinture animée sur pellicule ("Carnavallée") que la caméra numérique ("Flèches"), mais également créatrice d'images fixes et de livres pour enfants.
Dans cet entretien, cette cinéphile nous parle de la salle de cinéma, et en quoi cela reste, pour elle, un lieu de rendez-vous particulier avec quelques auteurs comptant autant pour ses goûts que dans son travail (de Jane Campion à Kelly Reichardt).
Mais elle ne délaisse pas pour autant les autres écrans, notamment le streaming avec la plateforme VOD Mubi, tout en restant fidèle au 35mm, auquel elle est très attachée.
Enfin - et surtout, Aline évoque son amour pour des Auteurs tels que Kelly Reichardt ou Werner Herzog, qu'elle estime être le "dernier romantique allemand".

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1 - PORTRAIT : 3:57
Le souffle, la respiration : Delphine Seyrig dans Le lys dans la vallée (M. Cravenne, 1970) - 3:57
Un costume : Le masque de Jean Marais dans La belle et la bête (J. Cocteau, 1946)- 5:32
Une archive de cinéma : un masque de La règle du jeu (J. Renoir, 1939) 8:42

2 - CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE : 11:53
Un film en salle, en pellicule : Soy Cuba (M. Kalatozov, 1964) - 11:53
Un film à voir indépendamment de son mode de visionnage : Le miroir (A. Tarkovski, 1975) - 17:08
Un film à emporter en vacances : Twin Peaks, the return (D. Lynch, 2017) - 22:55

3 - CINEMA, MEMOIRE & SOMMEIL : 25:12
Un film oublié à l'exception d'un détail : La fin de La peau douce vu enfant ((F. Truffaut, 1964) - 25:12-27'37
Un film impossible à oublier : Salo (P.P Pasolini, 1976)-27:37

CARTE BLANCHE - 31:54
La souffrière (Werner Herzog, 1977)

4 - CINEMA & TRANSMISSION : 37'34
Un film détesté mais recommandé : Salo (P.P Pasolini, 1976) - 37:34
Des films, ou des auteurs nourrissant une pratique de cinéma : Naomi Kawase, Bilge Ceylan, Jane Campion, Kelly Reichardt, Satyajit Ray, Lucrecia Martel - 41:28

FILM REFUGE - 48:21
La dernière piste (Kelly Reichardt, 2010)

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Pastille Festival du Cinéma de La Rochelle 2 - Victor Sjöström par Jacques Cambra, pianiste pour les films muets du festival

Plus courtes et plus intenses, les pastilles de Cinéphiles de note temps proposent de brefs portraits de cinéphiles à travers la description d'une séquence d'un film qui les a marqué.

Dans cette dernière pastille enregistrée lors du festival de La Rochelle, le pianiste attitré du festival, Jacques Cambra, évoque les films de Victor Sjöström et sa façon de les accompagner lors des ciné-concerts.

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Pastille Festival du Cinéma de La Rochelle 3 - Dario Argento

Plus courtes et plus intenses, les pastilles de Cinéphiles de note temps proposent de brefs portraits de cinéphiles à travers la description d'une séquence d'un film qui les a marqué.

Dans cette pastille réalisée à l'occasion du Festival de La Rochelle, deux spectatrices évoquent quelques passages de L'oiseau au plumage de cristal et de Phenomena.

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Pastille Festival du Cinéma de La Rochelle 1 - Miracle en Alabama

Plus courtes et plus intenses, les pastilles de Cinéphiles de note temps proposent de brefs portraits de cinéphiles à travers la description d'une séquence d'un film qui les a marqué.

Dans cette pastille réalisée à l'occasion du Festival de La Rochelle, un spectateur évoque le très beau Miracle en Alabama, issu de la rétrospective consacrée au cinéaste Arthur Penn.

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Cinéphiles de notre temps 5 - Phantom Thread avec Charles Bosson ("7 minutes de réflexion")

Pour cet épisode, nous recevons Charles Bosson, critique-créateur de la série d'essais-vidéo sur le cinéma "7 minutes de réflexion", mais également musicien et cinéaste.
Dans cet entretien, ce cinéphile insatiable et éclectique - passant autant de temps en salle que derrière des écrans plus petits - évoque notamment le fonctionnement de sa mémoire cinéphile, sa capacité à faire des liens entre les films, entre associations instinctives et études rigoureuses.
Vidéaste patient et spectateur curieux, il nous raconte, entre autres, pourquoi les films de Lubitsch sont rassurants avant d'aller dormir, et ne manque pas de décrire de façon sensible une séquence de "Boy meets girl" (L. Carax).

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1 - PORTRAIT : 3:33
Un regard de cinéma : Scarlett Johansson dans Under the skin (J. Glazer, 2013), 3:33
Un miroir : celui d'Alain Delon dans Le Samouraï (JP Melville, 1967), 6:33
Un combat : les luttes syndicales dans Matewan (J Sayles, 1987), 9:03

2 - CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE : 13:10
Un film regretté en salle : Jessica Forever (C. Poggi, J. Vinel, 2019), 13:10
L'intérêt des oeuvres au long cours : la cohabitation sur le long terme avec les personnages (dans divers films et séries) : 21:45

3 - MEMOIRE ET SOMMEIL : 25:25
Un film avant de dormir : la filmographie de Ernst Lubitsch, 25:25
Le fonctionnement de la mémoire cinéphile : Associations instinctives et comparaisons, 29:26

CARTE BLANCHE :
Boy meets girl (L. Carax, 1984) et La maman et la putain (J. Eustache, 1973)

4 - CINEMA ET TRANSMISSION
Un film détesté mais recommandé : peut-être La forêt d'Emeraude (J. Boorman, 1985), 38:26
Un film impossible à partager ? Non ! 45:25

Film REFUGE :
"Le nouveau film ou la nouvelle série dont j'ai entendu parler ce matin", 48:25