Cinéphiles de notre temps

Cinéphiles de notre temps

La cinéphilie c'est fini ? Portraits de cinéphiles en tous genres à l'ère numérique.

Phane Montet et Clément Coucoureux

La cinéphilie c’est fini ? Phane Montet et Clément Coucoureux proposent des portraits de cinéastes, critiques, techniciens, programmateurs, exploitants…par le biais des films qu’ils aiment (ou non). Ensemble, ils discutent aussi de ce qui les obsède au cinéma, de la meilleure façon de transmettre des films, ou de la diversité des conditions de visionnage à l’ère numérique. Pour s’interroger sur ce terme imposant qu’est la “cinéphilie”, mais surtout, pour donner envie de voir des films !


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Cinéphiles en confinement 5 - Laïs

Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.

Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.

Laïs Decaster, distributrice chez Shellac et réalisatrice du beau documentaire « J’suis pas malheureuse » projeté lors de la quatrième séance de GRAVE, évoque pour nous son film refuge D’amore Si vive (1984) de Silvano Agosti. Un film qui met en scène des individus parlant de leur vie, de leurs amours, de leur sexualité, de leurs idéaux, dans la plus grande intimité. Le refuge est là, dans ces paroles de l’Autre, dans ces histoires de vie, captés avec une grande simplicité.

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Cinéphiles en confinement 4 - Colette

Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.

Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.

C’est au tour de Colette, réalisatrice du beau documentaire « Parler d’elles » projeté lors de la seconde séance de GRAVE, d’évoquer pour nous ses films refuges, et ce faisant, elle questionne le concept même du « film refuge » comme étant des films non pas pour se protéger du monde, mais pour se réconcilier avec la réalité - dans tous les cas, pour la vivre sans concessions, avec sa beauté et sa laideur toute entière.

FILMS ÉVOQUÉS :

  • La mélodie du bonheur, en VF (Robert Wise, 1965)
  • L'argent de poche (François Truffaut, 1976)
  • Minnie et Moskowitz (John Cassavetes, 1971)
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Cinéphiles en confinement 3 - Brice

Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.

Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.

Pour cette troisième pastille, nous avons interrogé - via téléphones interposés - Brice, réalisateur du mélancolique « Nostambula », film retraçant la vie d’un buveur de sang ordinaire, projeté lors de la 3ème séance de projection du collectif GRAVE intitulée « Nuit ».
En écho à ce premier film où la figure du vampire dialogue entre héritage séculaire et adaptation au monde contemporain, Brice nous parle de son film refuge où il est aussi question de vampire des temps modernes : Morse du cinéaste suédois Thomas Alfredson. Film glaçant, film sublime, notre interlocuteur nous partage sa fascination pour cette histoire d’amour impossible et pour les banlieues silencieuses et pâles des métropoles suédoises.

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Cinéphiles en confinement 2 - Mona

Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.

Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.

Pour cette seconde pastille, nous vous proposons d'écouter Mona, réalisatrice des pépites animées "Cache Trappe" et "Transhumance" qui faisaient partie de la projection "En Devenir" de GRAVE. Ses films refuge allient musique, soleil, et souvenirs d'enfance : une des plus belles recettes de films refuge, en tout cas pour nous.

FILMS ÉVOQUÉS :

  • Certains l'aiment chaud (Billy Wilder, 1959)
  • The Blues Brothers (John Landis, 1980)
  • Porco Rosso (H. Miyazaki, 1992)
  • U (S. Elissalde, G. Solotareff, 2006)
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Cinéphiles en confinement 1 - Anne

Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.

Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.

Pour cette première pastille, nous avons demandé à Anne Milojevic, étudiante en cinéma à Paris 8 et réalisatrice d'un premier court métrage "Métamorphose" projeté lors de la 3ème séance du collectif GRAVE intitulée "Nuit" de nous parler de ses films refuges. Elle nous répond, les yeux rivés sur sa DVDthèque, parcourant les grandes oeuvres et les grands cinéastes qui ont marqué sa vie et défini sa sensibilité.

FILMS ÉVOQUÉS :

  • French Connection (W. Friedkin) : 1'48
  • Sous le soleil de Satan (M. Pialat, 1987) : 3'32
  • Hypothèse du tableau volé (R. Ruiz, 1978) : 5'29
  • India Song (M. Duras, 1974) : 10'24