Cinéphiles de notre temps

Cinéphiles de notre temps

La cinéphilie c'est fini ? Portraits de cinéphiles en tous genres à l'ère numérique.

Phane Montet et Clément Coucoureux

La cinéphilie c’est fini ? Phane Montet et Clément Coucoureux proposent des portraits de cinéastes, critiques, techniciens, programmateurs, exploitants…par le biais des films qu’ils aiment (ou non). Ensemble, ils discutent aussi de ce qui les obsède au cinéma, de la meilleure façon de transmettre des films, ou de la diversité des conditions de visionnage à l’ère numérique. Pour s’interroger sur ce terme imposant qu’est la “cinéphilie”, mais surtout, pour donner envie de voir des films !

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Pastille Carrefour de l'animation 3 - Alexis Hunot "Activiste du cinéma d'animation"

Cinéphiles de notre temps vous embarque au 17e carrefour de l'animation du Forum des images (du 11 au 15 décembre 2019).
Pour cette dernière pastille, Alexis Hunot, critique, prof, programmateur... se définissant comme "activiste du cinéma d'animation" revient sur son rapport à ce cinéma, et évoque la relation qu'il entretient avec le festival. Enfin, il parle également de mise en scène en animation, et de la place que cette technique occupe dans le cinéma en général.
Mercis particuliers à Anna Mandico pour sa participation aux questions.

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Pastille Carrefour de l'animation 2 - Vincent Patar et Stéphane Aubier ("Panique au village")

Cinéphiles de notre temps vous embarque au 17e carrefour de l'animation du Forum des images (du 11 au 15 décembre 2019).
Pour cette seconde pastille, Vincent Patar et Stéphane Aubier, auteurs notamment de la fameuse série "Panique au village", reviennent sur leur cinéphilie, mais aussi sur leur rapport à l'animation.
Mercis particuliers à Anna Mandico pour sa participation aux questions.

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Pastille 6 - Des pastis avec Loris

Plus courtes, les pastilles proposent des portraits, ou plutôt des esquisses de cinéphiles de notre temps dans des cadres moins formels.
Ici, Loris - entre autres activités rédacteur pour Revus & Corrigés et habitué de la programmation et des cinéclubs - fait son portrait chinois (un film d’été, un animal tueur, une étreinte), parle de sommeil, de sa place préférée dans une salle, et nous livre enfin son film-refuge.
Enregistré aux 400 Coups autour d’un pastis.

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Cinéphiles de notre temps 8 - Cinquante nuances de gris avec Rodolphe Cobetto-Caravanes

Pour cet épisode, nous recevons Rodolphe Cobetto-Caravanes, projectionniste-programmateur, animateur d’ateliers de cinémas, guide (pour l’exposition vampires à la Cinémathèque notamment), mais également cinéaste (de clips, de films expérimentaux) et créateur de fanzines. Mais arrêtons l’énumération ici !
Dans cet entretien, ce cinéphile à la moustache aussi fournie que celle de Burt Reynolds nous parle de ses (plus ou moins agréables) émois cinématographiques : à travers la sulfureuse Monika de Bergman, la belle Ingrid Bergman dans Casablanca qui implore à Sam sa fameuse chanson, ou encore à travers une autre Monica - Belluci de son nom de famille - dans une scène d’ « Irréversible » ancrée dans les rétines, et que pour une fois, on ne vous conseille pas.
Projectionniste-programmateur, il évoque également les balbutiements du numérique, d’étranges bobines de films (pour l’Ange Bleu) ou l’effervescence des séances du Rocky Horreur Picture Show au studio Galande, dont il fut programmateur.
Enfin - et surtout, Rodolphe rappelle que ne rien comprendre au cinéma, ce n’est pas grave - c’est une nécessité. Et il n’hésite pas à s’appuyer sur les grands - Bunuel ou David Lynch - pour appuyer son propos.

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I. PORTRAIT - 5:31
Une moustache de cinéma : Celle de Burt Reynolds - 5:41
Un instrument de musique au cinéma : le piano dans Casablanca (Michael Curtiz, 1942) - 10:35
Des mains au cinéma : les mains d’Orlac- 14:56

II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17:05
La/les meilleures séances du Rocky Horror Picture Show au Studio Galande - 17:15
Un film vu dans de mauvaises conditions, et redécouvert plus tard : Shadows (J. Cassavetes, 1959) - 21:19
Un film tourné en numérique mais que tu aurais préféré voir en 35mm : Gran Torino (Clint Eastwood, 2008) - 27:36

III. Mémoire et sommeil - 33:13
La scène érotique de l’enfance : Monika (I. Bergman, 1953) - 33:13
Le film qui te tient éveillé même dans un état de fatigue extrême : Un Chien Andalou (L. Bunuel, 1929) - 37:18

CARTE BLANCHE :
Mulholland Drive (D. Lynch, 2001) - 41:42

IV. CINEMA & TRANSMISSION - 48:45
Quels films tu aurais aimé ne pas « projeter » ? Baise-moi (V. Despentes, C. Trinh Thi, 2000)
Une séance lors de laquelle tu avais le sentiment de projeter un trésor (film rare ect…) : L’ange bleu (J von Sternberg, 1930) - 51:31
Le film érotique que tu aimerais montrer à ton enfant : Bilitis (David Hamilton, 1977) - 54:38

FILM REFUGE :
Kiki la petite sorcière (H. Miyazaki) - 59:41